14 - Ferry blues
Allez savoir pourquoi (et revenez me l'expliquer, merci), mais le voyage en ferry entre Penang (George Town) et Medan est interminable en plus d'être cher, genre 40 euros l'aller. Les heures s'allongent comme des semaines, encore et encore, et ça continue, c'est que le début, d'accord...(d'accord, c'est un peu Cabrelisé).On se fait chier comme des souris crevées, le décor change pas une touffe, le bruit des moteurs est Bernard-Henry-Lévyssant, les gilets de sauvetages sont orange, mais sans plus, et enfin la musique est nulle. Heureusement que l'autre Jules les a pas rendu obligatoires comme l'école...
A chaque fois, je me dis que je vais rien acheter à bord, et chaque fois je finis par acheter des cacahuètes et leur Pop-mie (Nouilles déshydratées). L'un et l'autre te font vite comprendre que l'Indonésie est un pays pauvre, et puis le sachet de cacahuètes ne dure que trois minutes, et le Pop-mie, huit (en mangeant les nouilles une par une).
Alors quand enfin on arrive, que je demande combien de jours a duré le voyage, et que les types me répondent 4 h 30, ben ça m'énerve, parce que j'aime pas qu'on se paie ma tête.
Et donc j'arrive toujours de mauvaise humeur en Indonésie.
Vendeurs de magazines posant devant le ferry
A chaque fois, je me dis que je vais rien acheter à bord, et chaque fois je finis par acheter des cacahuètes et leur Pop-mie (Nouilles déshydratées). L'un et l'autre te font vite comprendre que l'Indonésie est un pays pauvre, et puis le sachet de cacahuètes ne dure que trois minutes, et le Pop-mie, huit (en mangeant les nouilles une par une).Alors quand enfin on arrive, que je demande combien de jours a duré le voyage, et que les types me répondent 4 h 30, ben ça m'énerve, parce que j'aime pas qu'on se paie ma tête.
Et donc j'arrive toujours de mauvaise humeur en Indonésie.
Vendeurs de magazines posant devant le ferry